La population congolaise est constituée à 50% d’enfants (<15 ans). Le taux de mortalité infanto juvénile est quant à lui estimé à 104/1000 (rapport EDS, 2014). Le taux de malformation congénitale est estimé entre 2 et 5%.
Ces quelques chiffres permettent de comprendre la nécessité de développer une chirurgie spécialisée pédiatrique afin de permettre d’éviter des décès sur des pathologies curables, des séquelles par absence de prise en charge spécialisée et donc d’améliorer l’espérance de vie en bonne santé et par là même la croissance globale des pays.